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Tango0101 Oct 2014 11:06 p.m. PST

"The US air campaign in Syria this past week overshadowed what would have otherwise been big news on the Syria-Israel border last Tuesday: the Israelis shot down a Syrian Su-24 jet that strayed into their airspace. Israel's action represents a continuation of its policy of deterrence against any breach from the Syrian side, whatever its provenance. "We won't allow anybody, whether it's a state or a terrorist organization, to threaten our security and violate our sovereignty," Defense Minister Moshe Yaalon said.

Of course, the Israelis are not alone in facing a rising set of challenges from Syria. In a single day last week, Turkey witnessed over 100,000 Kurdish refugees pour across the frontier. An influx of refugees is similarly taxing Jordan, which faces the additional threat of a rising jihadist movement, fueled by events in Syria, inside its borders. One possible answer to this threat is to create buffer zones, and Turkey, for one, has once more called for the United Nations to do just that. The US campaign against the Islamic State (ISIS) has given this idea new strength, but it remains unlikely that Washington will endorse it. The Turks are quite likely incapable of creating and maintaining a buffer zone on their own, and would require a range of security assistance. Realistically, the creation of buffer zones would bring the US into direct conflict with the Assad regime – a prospect that President Obama has explicitly rejected.

Israel is faced with its own unpleasant options on its border with Syria. On the one hand, it is concerned that it may soon share a permanent border with Al-Qaeda. Jabhat al-Nusra, an Al-Qaeda affiliate, is now playing a major role in rebel movement on the southern front and could well continue to gain in strength to become the dominant party in the area. On the other hand, if pro-Assad forces should prevail, their victory will hardly spell a restoration of what used to be the status quo. Instead, the return of the regime would see the installation of the Iranians and Hezbollah in positions directly opposite the Israelis on the Golan Heights…"
Full article here
link

Amicalement
Armand

Chortle Fezian02 Oct 2014 3:01 a.m. PST

The Turks are quite likely incapable of creating and maintaining a buffer zone on their own, and would require a range of security assistance.

They have a vast army. They could surely do it. But some factions in their government or military may find it advantageous to support ISIS – unless they get a lot of external pressure.

On the other hand, if pro-Assad forces should prevail, their victory will hardly spell a restoration of what used to be the status quo. Instead, the return of the regime would see the installation of the Iranians and Hezbollah in positions directly opposite the Israelis on the Golan Heights…"

We could play nice with Assad now, pay him for his losses, support him to whack-a-mole militants and in quid-pro-quo pacify borders.

No one sensible is going to want put their troops in between Israel and Syria because of the danger of attacks. (although some of the cash poor UN peace keeper nations might do this). A US Staff college study looked at putting peace keepers within Israel:

link

Mark Rylance02 Oct 2014 4:43 a.m. PST

Suite géométrique
Exemples
2 ; 16 ; 128 ; 1024 ; 8192 ; …
Suite géométrique croissante, de premier terme 2 de raison 8
2 ; 1 ; 0,5 ; 0,25 ; 0,125 ; …
Suite géométrique décroissante, de premier terme 2 de raison 0,5

En mathématiques, une suite géométrique est une suite de nombres dans laquelle chaque terme permet de déduire le suivant par multiplication par un coefficient constant appelé raison. Ainsi, une suite géométrique a la forme suivante :

a,\ aq,\ aq^2,\ aq^3,\ aq^4,\ \ldots

La définition peut s'écrire sous la forme d'une relation de récurrence, c'est-à-dire que pour chaque entier naturel n :

u_{n+1} =q\times u_n\ ;\ \ u_0=a.

Cette relation est caractéristique de la progression géométrique qui se retrouve par exemple dans l'évolution d'un compte bancaire à intérêts composés ou la composition des intervalles musicaux. Elle permet aussi de modéliser une croissance exponentielle (dans laquelle la variation est proportionnelle à la quantité) par un processus en temps discret.

Les suites géométriques satisfont une formule générale pour le calcul des termes ainsi que pour la série associée. Elles peuvent aussi servir à calculer des solutions particulières pour les relations de récurrence linéaires.
Premières étapes de la construction du triangle de Serpinski.
Premières étapes de la construction du triangle de Sierpiński. Le nombre de triangles noirs, leur côté, leur aire individuelle et l'aire du domaine couvert suivent des progressions géométriques de raisons respectives 3, 1/2, 1/4 et 3/4.

Sommaire

1 Champ d'applications
2 Terme général
3 Sens de variation et convergence
3.1 Sens de variation
3.2 Convergence
4 Croissance comparée
5 Somme des termes
6 Notes et références
7 Voir aussi

Champ d'applications

La suite géométrique est l'outil privilégié pour l'étude de phénomènes à croissance ou décroissance exponentielle, ou encore l'étude de populations dont la taille double ou diminue de moitié dans un intervalle de temps constant (période).

Exemple : Le carbone 14 14C est un atome radioactif dont la période ou demi-vie est de T = 5730 ans (à 40 ans près). Cela signifie que, en cas de fermeture d'un système (fin des échanges avec le monde extérieur), la quantité de carbone 14 diminue de moitié tous les 5730 ans.
Si N est la quantité de 14C dans le système, au bout de T années (T = 5730 ans), il n'existe plus que N/2 noyaux de 14C . Au bout de 2T, il n'y a plus que N/4 noyaux. Au bout de 3T, il ne reste plus que N/8 noyaux. Si on appelle N_n la quantité de noyaux 14C au bout de n périodes, la suite (N_n ) est une suite géométrique de raison 1/2.

On la retrouve aussi dans le système bancaire avec le calcul des intérêts composés.

Exemple : Un capital C_0 placé à 5 % rapporte au bout d'un an 0,05 \times C_0 d'intérêts. Ces intérêts ajoutés au capital nous donnent un nouveau capital C_1 = 1,05\times C_0. En recommençant le processus chaque année, on crée une suite géométrique de raison 1,05 car C_{n+1} = 1,05 \times C_n.

On la retrouve enfin, en musicologie. En partant d'une certaine fréquence initiale, la suite des octaves correspond à une progression géométrique de raison 2 (en allant vers l'aigu), la suite des quintes pures (celles de l'accord pythagoricien) à une progression géométrique de raison 3/2, la suite des demi-tons de la gamme tempérée à une progression géométrique de raison la racine douzième de 2. La gamme tempérée n'utilise que douze quintes pures, (3/2)12 ≈ 129,746, qui valent « presque » 7 octaves, 27 = 128, c'est-à-dire que deux suites géométriques de même valeur initiale, l'une de raison 3/2 l'autre de raison 2, qui ne peuvent coïncider de façon précise en aucun point, coïncident de façon approchée pour ces valeurs.

Elle est l'équivalent discret d'une fonction exponentielle.
Terme général

Si K est un corps commutatif – par exemple ℝ (corps des réels) ou ℂ (corps des complexes) – et si (u_n )_{n\in\N} est une suite géométrique de K de raison q ∈ K alors, pour tout entier naturel n :

u_n = u_0 q^n

(y compris si q et n sont nuls, avec la convention 00 = 1).

Plus généralement, si la suite est définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} et si n ≥ p ≥ n0, alors :

u_n=u_pq^{n-p}.

Une suite géométrique est donc entièrement déterminée par la donnée de son premier terme u_{n_0} et par sa raison q.

Réciproquement, une suite définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} par

u_n=u_{n_0}q^{n-n_0}

est une suite géométrique de raison q.
Sens de variation et convergence

On supposera u_{n_0} et q non nuls.
Sens de variation

Ce paragraphe concerne les suites géométriques à valeurs dans ℝ.

si q < 0\, la suite n'est pas monotone et oscille alternativement dans les nombres négatifs et positifs. Elle est dite alternée.
si q \in ]0 ; 1[
si u_{n_0}> 0 la suite est décroissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est croissante négative
si q \in ]1 ; + \infty[
si u_{n_0}> 0 la suite est croissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est décroissante négative
si q = 1\, la suite est constante.

Convergence

Dans ℝ

si q < -1\,, la suite diverge et ne possède pas de limite. Dans ℝ, les valeurs d'adhérence sont +∞ et –∞.
si q = – 1\,, la suite diverge et possède deux valeurs d'adhérence : u_{n_0} et -u_{n_0}
si |q| < 1\,, la suite converge vers 0
si q = 1\,, la suite est constante et converge vers u_{n_0}
si q > 1\,, la suite est divergente mais possède une limite égale à
+ \infty pour u_{n_0}>0
– \infty pour u_{n_0}<0

Dans ℂ

si \left| q\right| <1, la suite converge vers 0.
si \left| q\right| >1, la suite est divergente.
si q = 1\ , la suite est constante et converge vers u_{n_0}.
si q \neq 1 et \left| q\right| = 1, la suite diverge.

Croissance comparée

On considère ici des suites à valeurs dans ℝ.

On démontre que, pour tout entier n et tout réel t positif, (1 + t )^n \geq 1 + nt. Cette inégalité permet d'affirmer qu'une suite géométrique de raison 1 + t et de premier terme a croît plus vite qu'une suite arithmétique de raison a×t. Cependant, en pratique, pour de petites valeurs de t et des valeurs raisonnables de n, les deux suites sont quasiment confondues. Cette approximation se justifie mathématiquement par le développement limité à l'ordre 1 lorsque t tend vers 0 : (1+t)^n=1 + nt + o(t) qui fournit l'approximation : ~(1+t)^n \approx 1+nt.

Illustration avec a = 1 000 et t = 0,004, soit une raison a×t = 4 :
n suite arithmétique suite géométrique
0 1 000 1 000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008,016
3 1 012 1 012,048
4 1 016 1 016,096
5 1 020 1 020,161
6 1 024 1 024,241
7 1 028 1 028,338
8 1 032 1 032,452
9 1 036 1 036,581
10 1 040 1 040,728
11 1 044 1 044,891
12 1 048 1 049,070

Cette approximation permet aux financiers d'utiliser comme taux d'intérêt mensuel le 12e du taux annuel t, au lieu de prendre la valeur exacte \sqrt[12]{1+t}-1 ; elle est d'autant meilleure que le taux est faible.
Somme des termes
Article détaillé : Série géométrique.

La somme des n + 1 premiers termes d'une suite géométrique (uk)k ∈ ℕ de raison q ≠ 1 vérifie : \sum_{k=0}^n u_k = u_0 + \cdots + u_n = u_0(1+ q + \cdots +q^n) = u_0\frac{1-q^{n+1}}{1-q}\ \ (q\neq 1) (voir l'article Série géométrique, section Terme général pour des démonstrations).

Quand q = 1, la suite est constante et u0 + … + un = (n+1)u0.

La formule se généralise à partir d'un rang m quelconque, la suite (um+k)k ∈ ℕ étant également géométrique. Plus généralement si la suite (uk) suit une progression géométrique entre m et n, qui est donc de longueur n – m + 1, on a la formule suivante quand la raison q est différente de 11 :

\sum_{k=m}^nu_k=u_m~\frac{1-q^{n-m+1}}{1-q}= \text{premier terme}\times \dfrac{1-\text{raison}^{\text{nombre de termes}}}{1-\text{raison}}.

La valeur de la somme des termes d'une progression géométrique est démontrée dans le Livre IX des Éléments d'Euclide, théorème 33 proposition XXXV, pour des nombres entiers plus grands que 1 (mais par une méthode générale)2. La proposition énonce que, dans une progression géométrique, les différences entre le premier et le second terme d'une part et le premier et le dernier terme d'autre part sont proportionnelles respectivement au premier terme et à la somme de tous les termes qui précèdent le dernier. Soit en langage algébrique \frac{u_0}{u_1-u_0}=\frac{u_0+u_1+\cdots+ u_{n-1}}{u_n-u_0}
Notes et références

↑ Jean-Pierre Marco et Laurent Lazzarini, Mathématiques L1 : Cours complet avec 1 000 tests et exercices corrigés, Pearson,‎ 2012 (ISBN 9782744076077, lire en ligne [archive]), p. 121
↑ Les quinze livres des éléments géométriques d'Euclide, traduction de D. Henrion, 1632, pp.344-345 [archive] ; une démonstration en langage algébrique moderne reposant sur le même principe est donnée dans Série géométrique#Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Suite géométrique, sur Wikiversity

Convergence géométrique (ou q-linéaire)
Série géométrique
Suite arithmético-géométrique
Suite arithmétique

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Mathématiques élémentaires
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Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l'identique ; d'autres conditions peuvent s'appliquer. Voyez les conditions d'utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence.
Wikipedia® est une marque déposée dSuite géométrique
Exemples
2 ; 16 ; 128 ; 1024 ; 8192 ; …
Suite géométrique croissante, de premier terme 2 de raison 8
2 ; 1 ; 0,5 ; 0,25 ; 0,125 ; …
Suite géométrique décroissante, de premier terme 2 de raison 0,5

En mathématiques, une suite géométrique est une suite de nombres dans laquelle chaque terme permet de déduire le suivant par multiplication par un coefficient constant appelé raison. Ainsi, une suite géométrique a la forme suivante :

a,\ aq,\ aq^2,\ aq^3,\ aq^4,\ \ldots

La définition peut s'écrire sous la forme d'une relation de récurrence, c'est-à-dire que pour chaque entier naturel n :

u_{n+1} =q\times u_n\ ;\ \ u_0=a.

Cette relation est caractéristique de la progression géométrique qui se retrouve par exemple dans l'évolution d'un compte bancaire à intérêts composés ou la composition des intervalles musicaux. Elle permet aussi de modéliser une croissance exponentielle (dans laquelle la variation est proportionnelle à la quantité) par un processus en temps discret.

Les suites géométriques satisfont une formule générale pour le calcul des termes ainsi que pour la série associée. Elles peuvent aussi servir à calculer des solutions particulières pour les relations de récurrence linéaires.
Premières étapes de la construction du triangle de Serpinski.
Premières étapes de la construction du triangle de Sierpiński. Le nombre de triangles noirs, leur côté, leur aire individuelle et l'aire du domaine couvert suivent des progressions géométriques de raisons respectives 3, 1/2, 1/4 et 3/4.

Sommaire

1 Champ d'applications
2 Terme général
3 Sens de variation et convergence
3.1 Sens de variation
3.2 Convergence
4 Croissance comparée
5 Somme des termes
6 Notes et références
7 Voir aussi

Champ d'applications

La suite géométrique est l'outil privilégié pour l'étude de phénomènes à croissance ou décroissance exponentielle, ou encore l'étude de populations dont la taille double ou diminue de moitié dans un intervalle de temps constant (période).

Exemple : Le carbone 14 14C est un atome radioactif dont la période ou demi-vie est de T = 5730 ans (à 40 ans près). Cela signifie que, en cas de fermeture d'un système (fin des échanges avec le monde extérieur), la quantité de carbone 14 diminue de moitié tous les 5730 ans.
Si N est la quantité de 14C dans le système, au bout de T années (T = 5730 ans), il n'existe plus que N/2 noyaux de 14C . Au bout de 2T, il n'y a plus que N/4 noyaux. Au bout de 3T, il ne reste plus que N/8 noyaux. Si on appelle N_n la quantité de noyaux 14C au bout de n périodes, la suite (N_n ) est une suite géométrique de raison 1/2.

On la retrouve aussi dans le système bancaire avec le calcul des intérêts composés.

Exemple : Un capital C_0 placé à 5 % rapporte au bout d'un an 0,05 \times C_0 d'intérêts. Ces intérêts ajoutés au capital nous donnent un nouveau capital C_1 = 1,05\times C_0. En recommençant le processus chaque année, on crée une suite géométrique de raison 1,05 car C_{n+1} = 1,05 \times C_n.

On la retrouve enfin, en musicologie. En partant d'une certaine fréquence initiale, la suite des octaves correspond à une progression géométrique de raison 2 (en allant vers l'aigu), la suite des quintes pures (celles de l'accord pythagoricien) à une progression géométrique de raison 3/2, la suite des demi-tons de la gamme tempérée à une progression géométrique de raison la racine douzième de 2. La gamme tempérée n'utilise que douze quintes pures, (3/2)12 ≈ 129,746, qui valent « presque » 7 octaves, 27 = 128, c'est-à-dire que deux suites géométriques de même valeur initiale, l'une de raison 3/2 l'autre de raison 2, qui ne peuvent coïncider de façon précise en aucun point, coïncident de façon approchée pour ces valeurs.

Elle est l'équivalent discret d'une fonction exponentielle.
Terme général

Si K est un corps commutatif – par exemple ℝ (corps des réels) ou ℂ (corps des complexes) – et si (u_n )_{n\in\N} est une suite géométrique de K de raison q ∈ K alors, pour tout entier naturel n :

u_n = u_0 q^n

(y compris si q et n sont nuls, avec la convention 00 = 1).

Plus généralement, si la suite est définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} et si n ≥ p ≥ n0, alors :

u_n=u_pq^{n-p}.

Une suite géométrique est donc entièrement déterminée par la donnée de son premier terme u_{n_0} et par sa raison q.

Réciproquement, une suite définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} par

u_n=u_{n_0}q^{n-n_0}

est une suite géométrique de raison q.
Sens de variation et convergence

On supposera u_{n_0} et q non nuls.
Sens de variation

Ce paragraphe concerne les suites géométriques à valeurs dans ℝ.

si q < 0\, la suite n'est pas monotone et oscille alternativement dans les nombres négatifs et positifs. Elle est dite alternée.
si q \in ]0 ; 1[
si u_{n_0}> 0 la suite est décroissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est croissante négative
si q \in ]1 ; + \infty[
si u_{n_0}> 0 la suite est croissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est décroissante négative
si q = 1\, la suite est constante.

Convergence

Dans ℝ

si q < -1\,, la suite diverge et ne possède pas de limite. Dans ℝ, les valeurs d'adhérence sont +∞ et –∞.
si q = – 1\,, la suite diverge et possède deux valeurs d'adhérence : u_{n_0} et -u_{n_0}
si |q| < 1\,, la suite converge vers 0
si q = 1\,, la suite est constante et converge vers u_{n_0}
si q > 1\,, la suite est divergente mais possède une limite égale à
+ \infty pour u_{n_0}>0
– \infty pour u_{n_0}<0

Dans ℂ

si \left| q\right| <1, la suite converge vers 0.
si \left| q\right| >1, la suite est divergente.
si q = 1\ , la suite est constante et converge vers u_{n_0}.
si q \neq 1 et \left| q\right| = 1, la suite diverge.

Croissance comparée

On considère ici des suites à valeurs dans ℝ.

On démontre que, pour tout entier n et tout réel t positif, (1 + t )^n \geq 1 + nt. Cette inégalité permet d'affirmer qu'une suite géométrique de raison 1 + t et de premier terme a croît plus vite qu'une suite arithmétique de raison a×t. Cependant, en pratique, pour de petites valeurs de t et des valeurs raisonnables de n, les deux suites sont quasiment confondues. Cette approximation se justifie mathématiquement par le développement limité à l'ordre 1 lorsque t tend vers 0 : (1+t)^n=1 + nt + o(t) qui fournit l'approximation : ~(1+t)^n \approx 1+nt.

Illustration avec a = 1 000 et t = 0,004, soit une raison a×t = 4 :
n suite arithmétique suite géométrique
0 1 000 1 000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008,016
3 1 012 1 012,048
4 1 016 1 016,096
5 1 020 1 020,161
6 1 024 1 024,241
7 1 028 1 028,338
8 1 032 1 032,452
9 1 036 1 036,581
10 1 040 1 040,728
11 1 044 1 044,891
12 1 048 1 049,070

Cette approximation permet aux financiers d'utiliser comme taux d'intérêt mensuel le 12e du taux annuel t, au lieu de prendre la valeur exacte \sqrt[12]{1+t}-1 ; elle est d'autant meilleure que le taux est faible.
Somme des termes
Article détaillé : Série géométrique.

La somme des n + 1 premiers termes d'une suite géométrique (uk)k ∈ ℕ de raison q ≠ 1 vérifie : \sum_{k=0}^n u_k = u_0 + \cdots + u_n = u_0(1+ q + \cdots +q^n) = u_0\frac{1-q^{n+1}}{1-q}\ \ (q\neq 1) (voir l'article Série géométrique, section Terme général pour des démonstrations).

Quand q = 1, la suite est constante et u0 + … + un = (n+1)u0.

La formule se généralise à partir d'un rang m quelconque, la suite (um+k)k ∈ ℕ étant également géométrique. Plus généralement si la suite (uk) suit une progression géométrique entre m et n, qui est donc de longueur n – m + 1, on a la formule suivante quand la raison q est différente de 11 :

\sum_{k=m}^nu_k=u_m~\frac{1-q^{n-m+1}}{1-q}= \text{premier terme}\times \dfrac{1-\text{raison}^{\text{nombre de termes}}}{1-\text{raison}}.

La valeur de la somme des termes d'une progression géométrique est démontrée dans le Livre IX des Éléments d'Euclide, théorème 33 proposition XXXV, pour des nombres entiers plus grands que 1 (mais par une méthode générale)2. La proposition énonce que, dans une progression géométrique, les différences entre le premier et le second terme d'une part et le premier et le dernier terme d'autre part sont proportionnelles respectivement au premier terme et à la somme de tous les termes qui précèdent le dernier. Soit en langage algébrique \frac{u_0}{u_1-u_0}=\frac{u_0+u_1+\cdots+ u_{n-1}}{u_n-u_0}
Notes et références

↑ Jean-Pierre Marco et Laurent Lazzarini, Mathématiques L1 : Cours complet avec 1 000 tests et exercices corrigés, Pearson,‎ 2012 (ISBN 9782744076077, lire en ligne [archive]), p. 121
↑ Les quinze livres des éléments géométriques d'Euclide, traduction de D. Henrion, 1632, pp.344-345 [archive] ; une démonstration en langage algébrique moderne reposant sur le même principe est donnée dans Série géométrique#Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

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Exemples
2 ; 16 ; 128 ; 1024 ; 8192 ; …
Suite géométrique croissante, de premier terme 2 de raison 8
2 ; 1 ; 0,5 ; 0,25 ; 0,125 ; …
Suite géométrique décroissante, de premier terme 2 de raison 0,5

En mathématiques, une suite géométrique est une suite de nombres dans laquelle chaque terme permet de déduire le suivant par multiplication par un coefficient constant appelé raison. Ainsi, une suite géométrique a la forme suivante :

a,\ aq,\ aq^2,\ aq^3,\ aq^4,\ \ldots

La définition peut s'écrire sous la forme d'une relation de récurrence, c'est-à-dire que pour chaque entier naturel n :

u_{n+1} =q\times u_n\ ;\ \ u_0=a.

Cette relation est caractéristique de la progression géométrique qui se retrouve par exemple dans l'évolution d'un compte bancaire à intérêts composés ou la composition des intervalles musicaux. Elle permet aussi de modéliser une croissance exponentielle (dans laquelle la variation est proportionnelle à la quantité) par un processus en temps discret.

Les suites géométriques satisfont une formule générale pour le calcul des termes ainsi que pour la série associée. Elles peuvent aussi servir à calculer des solutions particulières pour les relations de récurrence linéaires.
Premières étapes de la construction du triangle de Serpinski.
Premières étapes de la construction du triangle de Sierpiński. Le nombre de triangles noirs, leur côté, leur aire individuelle et l'aire du domaine couvert suivent des progressions géométriques de raisons respectives 3, 1/2, 1/4 et 3/4.

Sommaire

1 Champ d'applications
2 Terme général
3 Sens de variation et convergence
3.1 Sens de variation
3.2 Convergence
4 Croissance comparée
5 Somme des termes
6 Notes et références
7 Voir aussi

Champ d'applications

La suite géométrique est l'outil privilégié pour l'étude de phénomènes à croissance ou décroissance exponentielle, ou encore l'étude de populations dont la taille double ou diminue de moitié dans un intervalle de temps constant (période).

Exemple : Le carbone 14 14C est un atome radioactif dont la période ou demi-vie est de T = 5730 ans (à 40 ans près). Cela signifie que, en cas de fermeture d'un système (fin des échanges avec le monde extérieur), la quantité de carbone 14 diminue de moitié tous les 5730 ans.
Si N est la quantité de 14C dans le système, au bout de T années (T = 5730 ans), il n'existe plus que N/2 noyaux de 14C . Au bout de 2T, il n'y a plus que N/4 noyaux. Au bout de 3T, il ne reste plus que N/8 noyaux. Si on appelle N_n la quantité de noyaux 14C au bout de n périodes, la suite (N_n ) est une suite géométrique de raison 1/2.

On la retrouve aussi dans le système bancaire avec le calcul des intérêts composés.

Exemple : Un capital C_0 placé à 5 % rapporte au bout d'un an 0,05 \times C_0 d'intérêts. Ces intérêts ajoutés au capital nous donnent un nouveau capital C_1 = 1,05\times C_0. En recommençant le processus chaque année, on crée une suite géométrique de raison 1,05 car C_{n+1} = 1,05 \times C_n.

On la retrouve enfin, en musicologie. En partant d'une certaine fréquence initiale, la suite des octaves correspond à une progression géométrique de raison 2 (en allant vers l'aigu), la suite des quintes pures (celles de l'accord pythagoricien) à une progression géométrique de raison 3/2, la suite des demi-tons de la gamme tempérée à une progression géométrique de raison la racine douzième de 2. La gamme tempérée n'utilise que douze quintes pures, (3/2)12 ≈ 129,746, qui valent « presque » 7 octaves, 27 = 128, c'est-à-dire que deux suites géométriques de même valeur initiale, l'une de raison 3/2 l'autre de raison 2, qui ne peuvent coïncider de façon précise en aucun point, coïncident de façon approchée pour ces valeurs.

Elle est l'équivalent discret d'une fonction exponentielle.
Terme général

Si K est un corps commutatif – par exemple ℝ (corps des réels) ou ℂ (corps des complexes) – et si (u_n )_{n\in\N} est une suite géométrique de K de raison q ∈ K alors, pour tout entier naturel n :

u_n = u_0 q^n

(y compris si q et n sont nuls, avec la convention 00 = 1).

Plus généralement, si la suite est définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} et si n ≥ p ≥ n0, alors :

u_n=u_pq^{n-p}.

Une suite géométrique est donc entièrement déterminée par la donnée de son premier terme u_{n_0} et par sa raison q.

Réciproquement, une suite définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} par

u_n=u_{n_0}q^{n-n_0}

est une suite géométrique de raison q.
Sens de variation et convergence

On supposera u_{n_0} et q non nuls.
Sens de variation

Ce paragraphe concerne les suites géométriques à valeurs dans ℝ.

si q < 0\, la suite n'est pas monotone et oscille alternativement dans les nombres négatifs et positifs. Elle est dite alternée.
si q \in ]0 ; 1[
si u_{n_0}> 0 la suite est décroissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est croissante négative
si q \in ]1 ; + \infty[
si u_{n_0}> 0 la suite est croissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est décroissante négative
si q = 1\, la suite est constante.

Convergence

Dans ℝ

si q < -1\,, la suite diverge et ne possède pas de limite. Dans ℝ, les valeurs d'adhérence sont +∞ et –∞.
si q = – 1\,, la suite diverge et possède deux valeurs d'adhérence : u_{n_0} et -u_{n_0}
si |q| < 1\,, la suite converge vers 0
si q = 1\,, la suite est constante et converge vers u_{n_0}
si q > 1\,, la suite est divergente mais possède une limite égale à
+ \infty pour u_{n_0}>0
– \infty pour u_{n_0}<0

Dans ℂ

si \left| q\right| <1, la suite converge vers 0.
si \left| q\right| >1, la suite est divergente.
si q = 1\ , la suite est constante et converge vers u_{n_0}.
si q \neq 1 et \left| q\right| = 1, la suite diverge.

Croissance comparée

On considère ici des suites à valeurs dans ℝ.

On démontre que, pour tout entier n et tout réel t positif, (1 + t )^n \geq 1 + nt. Cette inégalité permet d'affirmer qu'une suite géométrique de raison 1 + t et de premier terme a croît plus vite qu'une suite arithmétique de raison a×t. Cependant, en pratique, pour de petites valeurs de t et des valeurs raisonnables de n, les deux suites sont quasiment confondues. Cette approximation se justifie mathématiquement par le développement limité à l'ordre 1 lorsque t tend vers 0 : (1+t)^n=1 + nt + o(t) qui fournit l'approximation : ~(1+t)^n \approx 1+nt.

Illustration avec a = 1 000 et t = 0,004, soit une raison a×t = 4 :
n suite arithmétique suite géométrique
0 1 000 1 000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008,016
3 1 012 1 012,048
4 1 016 1 016,096
5 1 020 1 020,161
6 1 024 1 024,241
7 1 028 1 028,338
8 1 032 1 032,452
9 1 036 1 036,581
10 1 040 1 040,728
11 1 044 1 044,891
12 1 048 1 049,070

Cette approximation permet aux financiers d'utiliser comme taux d'intérêt mensuel le 12e du taux annuel t, au lieu de prendre la valeur exacte \sqrt[12]{1+t}-1 ; elle est d'autant meilleure que le taux est faible.
Somme des termes
Article détaillé : Série géométrique.

La somme des n + 1 premiers termes d'une suite géométrique (uk)k ∈ ℕ de raison q ≠ 1 vérifie : \sum_{k=0}^n u_k = u_0 + \cdots + u_n = u_0(1+ q + \cdots +q^n) = u_0\frac{1-q^{n+1}}{1-q}\ \ (q\neq 1) (voir l'article Série géométrique, section Terme général pour des démonstrations).

Quand q = 1, la suite est constante et u0 + … + un = (n+1)u0.

La formule se généralise à partir d'un rang m quelconque, la suite (um+k)k ∈ ℕ étant également géométrique. Plus généralement si la suite (uk) suit une progression géométrique entre m et n, qui est donc de longueur n – m + 1, on a la formule suivante quand la raison q est différente de 11 :

\sum_{k=m}^nu_k=u_m~\frac{1-q^{n-m+1}}{1-q}= \text{premier terme}\times \dfrac{1-\text{raison}^{\text{nombre de termes}}}{1-\text{raison}}.

La valeur de la somme des termes d'une progression géométrique est démontrée dans le Livre IX des Éléments d'Euclide, théorème 33 proposition XXXV, pour des nombres entiers plus grands que 1 (mais par une méthode générale)2. La proposition énonce que, dans une progression géométrique, les différences entre le premier et le second terme d'une part et le premier et le dernier terme d'autre part sont proportionnelles respectivement au premier terme et à la somme de tous les termes qui précèdent le dernier. Soit en langage algébrique \frac{u_0}{u_1-u_0}=\frac{u_0+u_1+\cdots+ u_{n-1}}{u_n-u_0}
Notes et références

↑ Jean-Pierre Marco et Laurent Lazzarini, Mathématiques L1 : Cours complet avec 1 000 tests et exercices corrigés, Pearson,‎ 2012 (ISBN 9782744076077, lire en ligne [archive]), p. 121
↑ Les quinze livres des éléments géométriques d'Euclide, traduction de D. Henrion, 1632, pp.344-345 [archive] ; une démonstration en langage algébrique moderne reposant sur le même principe est donnée dans Série géométrique#Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Suite géométrique, sur Wikiversity

Convergence géométrique (ou q-linéaire)
Série géométrique
Suite arithmético-géométrique
Suite arithmétique

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Mathématiques élémentaires
Suite de nombres

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2 ; 16 ; 128 ; 1024 ; 8192 ; …
Suite géométrique croissante, de premier terme 2 de raison 8
2 ; 1 ; 0,5 ; 0,25 ; 0,125 ; …
Suite géométrique décroissante, de premier terme 2 de raison 0,5

En mathématiques, une suite géométrique est une suite de nombres dans laquelle chaque terme permet de déduire le suivant par multiplication par un coefficient constant appelé raison. Ainsi, une suite géométrique a la forme suivante :

a,\ aq,\ aq^2,\ aq^3,\ aq^4,\ \ldots

La définition peut s'écrire sous la forme d'une relation de récurrence, c'est-à-dire que pour chaque entier naturel n :

u_{n+1} =q\times u_n\ ;\ \ u_0=a.

Cette relation est caractéristique de la progression géométrique qui se retrouve par exemple dans l'évolution d'un compte bancaire à intérêts composés ou la composition des intervalles musicaux. Elle permet aussi de modéliser une croissance exponentielle (dans laquelle la variation est proportionnelle à la quantité) par un processus en temps discret.

Les suites géométriques satisfont une formule générale pour le calcul des termes ainsi que pour la série associée. Elles peuvent aussi servir à calculer des solutions particulières pour les relations de récurrence linéaires.
Premières étapes de la construction du triangle de Serpinski.
Premières étapes de la construction du triangle de Sierpiński. Le nombre de triangles noirs, leur côté, leur aire individuelle et l'aire du domaine couvert suivent des progressions géométriques de raisons respectives 3, 1/2, 1/4 et 3/4.

Sommaire

1 Champ d'applications
2 Terme général
3 Sens de variation et convergence
3.1 Sens de variation
3.2 Convergence
4 Croissance comparée
5 Somme des termes
6 Notes et références
7 Voir aussi

Champ d'applications

La suite géométrique est l'outil privilégié pour l'étude de phénomènes à croissance ou décroissance exponentielle, ou encore l'étude de populations dont la taille double ou diminue de moitié dans un intervalle de temps constant (période).

Exemple : Le carbone 14 14C est un atome radioactif dont la période ou demi-vie est de T = 5730 ans (à 40 ans près). Cela signifie que, en cas de fermeture d'un système (fin des échanges avec le monde extérieur), la quantité de carbone 14 diminue de moitié tous les 5730 ans.
Si N est la quantité de 14C dans le système, au bout de T années (T = 5730 ans), il n'existe plus que N/2 noyaux de 14C . Au bout de 2T, il n'y a plus que N/4 noyaux. Au bout de 3T, il ne reste plus que N/8 noyaux. Si on appelle N_n la quantité de noyaux 14C au bout de n périodes, la suite (N_n ) est une suite géométrique de raison 1/2.

On la retrouve aussi dans le système bancaire avec le calcul des intérêts composés.

Exemple : Un capital C_0 placé à 5 % rapporte au bout d'un an 0,05 \times C_0 d'intérêts. Ces intérêts ajoutés au capital nous donnent un nouveau capital C_1 = 1,05\times C_0. En recommençant le processus chaque année, on crée une suite géométrique de raison 1,05 car C_{n+1} = 1,05 \times C_n.

On la retrouve enfin, en musicologie. En partant d'une certaine fréquence initiale, la suite des octaves correspond à une progression géométrique de raison 2 (en allant vers l'aigu), la suite des quintes pures (celles de l'accord pythagoricien) à une progression géométrique de raison 3/2, la suite des demi-tons de la gamme tempérée à une progression géométrique de raison la racine douzième de 2. La gamme tempérée n'utilise que douze quintes pures, (3/2)12 ≈ 129,746, qui valent « presque » 7 octaves, 27 = 128, c'est-à-dire que deux suites géométriques de même valeur initiale, l'une de raison 3/2 l'autre de raison 2, qui ne peuvent coïncider de façon précise en aucun point, coïncident de façon approchée pour ces valeurs.

Elle est l'équivalent discret d'une fonction exponentielle.
Terme général

Si K est un corps commutatif – par exemple ℝ (corps des réels) ou ℂ (corps des complexes) – et si (u_n )_{n\in\N} est une suite géométrique de K de raison q ∈ K alors, pour tout entier naturel n :

u_n = u_0 q^n

(y compris si q et n sont nuls, avec la convention 00 = 1).

Plus généralement, si la suite est définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} et si n ≥ p ≥ n0, alors :

u_n=u_pq^{n-p}.

Une suite géométrique est donc entièrement déterminée par la donnée de son premier terme u_{n_0} et par sa raison q.

Réciproquement, une suite définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} par

u_n=u_{n_0}q^{n-n_0}

est une suite géométrique de raison q.
Sens de variation et convergence

On supposera u_{n_0} et q non nuls.
Sens de variation

Ce paragraphe concerne les suites géométriques à valeurs dans ℝ.

si q < 0\, la suite n'est pas monotone et oscille alternativement dans les nombres négatifs et positifs. Elle est dite alternée.
si q \in ]0 ; 1[
si u_{n_0}> 0 la suite est décroissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est croissante négative
si q \in ]1 ; + \infty[
si u_{n_0}> 0 la suite est croissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est décroissante négative
si q = 1\, la suite est constante.

Convergence

Dans ℝ

si q < -1\,, la suite diverge et ne possède pas de limite. Dans ℝ, les valeurs d'adhérence sont +∞ et –∞.
si q = – 1\,, la suite diverge et possède deux valeurs d'adhérence : u_{n_0} et -u_{n_0}
si |q| < 1\,, la suite converge vers 0
si q = 1\,, la suite est constante et converge vers u_{n_0}
si q > 1\,, la suite est divergente mais possède une limite égale à
+ \infty pour u_{n_0}>0
– \infty pour u_{n_0}<0

Dans ℂ

si \left| q\right| <1, la suite converge vers 0.
si \left| q\right| >1, la suite est divergente.
si q = 1\ , la suite est constante et converge vers u_{n_0}.
si q \neq 1 et \left| q\right| = 1, la suite diverge.

Croissance comparée

On considère ici des suites à valeurs dans ℝ.

On démontre que, pour tout entier n et tout réel t positif, (1 + t )^n \geq 1 + nt. Cette inégalité permet d'affirmer qu'une suite géométrique de raison 1 + t et de premier terme a croît plus vite qu'une suite arithmétique de raison a×t. Cependant, en pratique, pour de petites valeurs de t et des valeurs raisonnables de n, les deux suites sont quasiment confondues. Cette approximation se justifie mathématiquement par le développement limité à l'ordre 1 lorsque t tend vers 0 : (1+t)^n=1 + nt + o(t) qui fournit l'approximation : ~(1+t)^n \approx 1+nt.

Illustration avec a = 1 000 et t = 0,004, soit une raison a×t = 4 :
n suite arithmétique suite géométrique
0 1 000 1 000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008,016
3 1 012 1 012,048
4 1 016 1 016,096
5 1 020 1 020,161
6 1 024 1 024,241
7 1 028 1 028,338
8 1 032 1 032,452
9 1 036 1 036,581
10 1 040 1 040,728
11 1 044 1 044,891
12 1 048 1 049,070

Cette approximation permet aux financiers d'utiliser comme taux d'intérêt mensuel le 12e du taux annuel t, au lieu de prendre la valeur exacte \sqrt[12]{1+t}-1 ; elle est d'autant meilleure que le taux est faible.
Somme des termes
Article détaillé : Série géométrique.

La somme des n + 1 premiers termes d'une suite géométrique (uk)k ∈ ℕ de raison q ≠ 1 vérifie : \sum_{k=0}^n u_k = u_0 + \cdots + u_n = u_0(1+ q + \cdots +q^n) = u_0\frac{1-q^{n+1}}{1-q}\ \ (q\neq 1) (voir l'article Série géométrique, section Terme général pour des démonstrations).

Quand q = 1, la suite est constante et u0 + … + un = (n+1)u0.

La formule se généralise à partir d'un rang m quelconque, la suite (um+k)k ∈ ℕ étant également géométrique. Plus généralement si la suite (uk) suit une progression géométrique entre m et n, qui est donc de longueur n – m + 1, on a la formule suivante quand la raison q est différente de 11 :

\sum_{k=m}^nu_k=u_m~\frac{1-q^{n-m+1}}{1-q}= \text{premier terme}\times \dfrac{1-\text{raison}^{\text{nombre de termes}}}{1-\text{raison}}.

La valeur de la somme des termes d'une progression géométrique est démontrée dans le Livre IX des Éléments d'Euclide, théorème 33 proposition XXXV, pour des nombres entiers plus grands que 1 (mais par une méthode générale)2. La proposition énonce que, dans une progression géométrique, les différences entre le premier et le second terme d'une part et le premier et le dernier terme d'autre part sont proportionnelles respectivement au premier terme et à la somme de tous les termes qui précèdent le dernier. Soit en langage algébrique \frac{u_0}{u_1-u_0}=\frac{u_0+u_1+\cdots+ u_{n-1}}{u_n-u_0}
Notes et références

↑ Jean-Pierre Marco et Laurent Lazzarini, Mathématiques L1 : Cours complet avec 1 000 tests et exercices corrigés, Pearson,‎ 2012 (ISBN 9782744076077, lire en ligne [archive]), p. 121
↑ Les quinze livres des éléments géométriques d'Euclide, traduction de D. Henrion, 1632, pp.344-345 [archive] ; une démonstration en langage algébrique moderne reposant sur le même principe est donnée dans Série géométrique#Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

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Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Suite géométrique
Exemples
2 ; 16 ; 128 ; 1024 ; 8192 ; …
Suite géométrique croissante, de premier terme 2 de raison 8
2 ; 1 ; 0,5 ; 0,25 ; 0,125 ; …
Suite géométrique décroissante, de premier terme 2 de raison 0,5

En mathématiques, une suite géométrique est une suite de nombres dans laquelle chaque terme permet de déduire le suivant par multiplication par un coefficient constant appelé raison. Ainsi, une suite géométrique a la forme suivante :

a,\ aq,\ aq^2,\ aq^3,\ aq^4,\ \ldots

La définition peut s'écrire sous la forme d'une relation de récurrence, c'est-à-dire que pour chaque entier naturel n :

u_{n+1} =q\times u_n\ ;\ \ u_0=a.

Cette relation est caractéristique de la progression géométrique qui se retrouve par exemple dans l'évolution d'un compte bancaire à intérêts composés ou la composition des intervalles musicaux. Elle permet aussi de modéliser une croissance exponentielle (dans laquelle la variation est proportionnelle à la quantité) par un processus en temps discret.

Les suites géométriques satisfont une formule générale pour le calcul des termes ainsi que pour la série associée. Elles peuvent aussi servir à calculer des solutions particulières pour les relations de récurrence linéaires.
Premières étapes de la construction du triangle de Serpinski.
Premières étapes de la construction du triangle de Sierpiński. Le nombre de triangles noirs, leur côté, leur aire individuelle et l'aire du domaine couvert suivent des progressions géométriques de raisons respectives 3, 1/2, 1/4 et 3/4.

Sommaire

1 Champ d'applications
2 Terme général
3 Sens de variation et convergence
3.1 Sens de variation
3.2 Convergence
4 Croissance comparée
5 Somme des termes
6 Notes et références
7 Voir aussi

Champ d'applications

La suite géométrique est l'outil privilégié pour l'étude de phénomènes à croissance ou décroissance exponentielle, ou encore l'étude de populations dont la taille double ou diminue de moitié dans un intervalle de temps constant (période).

Exemple : Le carbone 14 14C est un atome radioactif dont la période ou demi-vie est de T = 5730 ans (à 40 ans près). Cela signifie que, en cas de fermeture d'un système (fin des échanges avec le monde extérieur), la quantité de carbone 14 diminue de moitié tous les 5730 ans.
Si N est la quantité de 14C dans le système, au bout de T années (T = 5730 ans), il n'existe plus que N/2 noyaux de 14C . Au bout de 2T, il n'y a plus que N/4 noyaux. Au bout de 3T, il ne reste plus que N/8 noyaux. Si on appelle N_n la quantité de noyaux 14C au bout de n périodes, la suite (N_n ) est une suite géométrique de raison 1/2.

On la retrouve aussi dans le système bancaire avec le calcul des intérêts composés.

Exemple : Un capital C_0 placé à 5 % rapporte au bout d'un an 0,05 \times C_0 d'intérêts. Ces intérêts ajoutés au capital nous donnent un nouveau capital C_1 = 1,05\times C_0. En recommençant le processus chaque année, on crée une suite géométrique de raison 1,05 car C_{n+1} = 1,05 \times C_n.

On la retrouve enfin, en musicologie. En partant d'une certaine fréquence initiale, la suite des octaves correspond à une progression géométrique de raison 2 (en allant vers l'aigu), la suite des quintes pures (celles de l'accord pythagoricien) à une progression géométrique de raison 3/2, la suite des demi-tons de la gamme tempérée à une progression géométrique de raison la racine douzième de 2. La gamme tempérée n'utilise que douze quintes pures, (3/2)12 ≈ 129,746, qui valent « presque » 7 octaves, 27 = 128, c'est-à-dire que deux suites géométriques de même valeur initiale, l'une de raison 3/2 l'autre de raison 2, qui ne peuvent coïncider de façon précise en aucun point, coïncident de façon approchée pour ces valeurs.

Elle est l'équivalent discret d'une fonction exponentielle.
Terme général

Si K est un corps commutatif – par exemple ℝ (corps des réels) ou ℂ (corps des complexes) – et si (u_n )_{n\in\N} est une suite géométrique de K de raison q ∈ K alors, pour tout entier naturel n :

u_n = u_0 q^n

(y compris si q et n sont nuls, avec la convention 00 = 1).

Plus généralement, si la suite est définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} et si n ≥ p ≥ n0, alors :

u_n=u_pq^{n-p}.

Une suite géométrique est donc entièrement déterminée par la donnée de son premier terme u_{n_0} et par sa raison q.

Réciproquement, une suite définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} par

u_n=u_{n_0}q^{n-n_0}

est une suite géométrique de raison q.
Sens de variation et convergence

On supposera u_{n_0} et q non nuls.
Sens de variation

Ce paragraphe concerne les suites géométriques à valeurs dans ℝ.

si q < 0\, la suite n'est pas monotone et oscille alternativement dans les nombres négatifs et positifs. Elle est dite alternée.
si q \in ]0 ; 1[
si u_{n_0}> 0 la suite est décroissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est croissante négative
si q \in ]1 ; + \infty[
si u_{n_0}> 0 la suite est croissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est décroissante négative
si q = 1\, la suite est constante.

Convergence

Dans ℝ

si q < -1\,, la suite diverge et ne possède pas de limite. Dans ℝ, les valeurs d'adhérence sont +∞ et –∞.
si q = – 1\,, la suite diverge et possède deux valeurs d'adhérence : u_{n_0} et -u_{n_0}
si |q| < 1\,, la suite converge vers 0
si q = 1\,, la suite est constante et converge vers u_{n_0}
si q > 1\,, la suite est divergente mais possède une limite égale à
+ \infty pour u_{n_0}>0
– \infty pour u_{n_0}<0

Dans ℂ

si \left| q\right| <1, la suite converge vers 0.
si \left| q\right| >1, la suite est divergente.
si q = 1\ , la suite est constante et converge vers u_{n_0}.
si q \neq 1 et \left| q\right| = 1, la suite diverge.

Croissance comparée

On considère ici des suites à valeurs dans ℝ.

On démontre que, pour tout entier n et tout réel t positif, (1 + t )^n \geq 1 + nt. Cette inégalité permet d'affirmer qu'une suite géométrique de raison 1 + t et de premier terme a croît plus vite qu'une suite arithmétique de raison a×t. Cependant, en pratique, pour de petites valeurs de t et des valeurs raisonnables de n, les deux suites sont quasiment confondues. Cette approximation se justifie mathématiquement par le développement limité à l'ordre 1 lorsque t tend vers 0 : (1+t)^n=1 + nt + o(t) qui fournit l'approximation : ~(1+t)^n \approx 1+nt.

Illustration avec a = 1 000 et t = 0,004, soit une raison a×t = 4 :
n suite arithmétique suite géométrique
0 1 000 1 000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008,016
3 1 012 1 012,048
4 1 016 1 016,096
5 1 020 1 020,161
6 1 024 1 024,241
7 1 028 1 028,338
8 1 032 1 032,452
9 1 036 1 036,581
10 1 040 1 040,728
11 1 044 1 044,891
12 1 048 1 049,070

Cette approximation permet aux financiers d'utiliser comme taux d'intérêt mensuel le 12e du taux annuel t, au lieu de prendre la valeur exacte \sqrt[12]{1+t}-1 ; elle est d'autant meilleure que le taux est faible.
Somme des termes
Article détaillé : Série géométrique.

La somme des n + 1 premiers termes d'une suite géométrique (uk)k ∈ ℕ de raison q ≠ 1 vérifie : \sum_{k=0}^n u_k = u_0 + \cdots + u_n = u_0(1+ q + \cdots +q^n) = u_0\frac{1-q^{n+1}}{1-q}\ \ (q\neq 1) (voir l'article Série géométrique, section Terme général pour des démonstrations).

Quand q = 1, la suite est constante et u0 + … + un = (n+1)u0.

La formule se généralise à partir d'un rang m quelconque, la suite (um+k)k ∈ ℕ étant également géométrique. Plus généralement si la suite (uk) suit une progression géométrique entre m et n, qui est donc de longueur n – m + 1, on a la formule suivante quand la raison q est différente de 11 :

\sum_{k=m}^nu_k=u_m~\frac{1-q^{n-m+1}}{1-q}= \text{premier terme}\times \dfrac{1-\text{raison}^{\text{nombre de termes}}}{1-\text{raison}}.

La valeur de la somme des termes d'une progression géométrique est démontrée dans le Livre IX des Éléments d'Euclide, théorème 33 proposition XXXV, pour des nombres entiers plus grands que 1 (mais par une méthode générale)2. La proposition énonce que, dans une progression géométrique, les différences entre le premier et le second terme d'une part et le premier et le dernier terme d'autre part sont proportionnelles respectivement au premier terme et à la somme de tous les termes qui précèdent le dernier. Soit en langage algébrique \frac{u_0}{u_1-u_0}=\frac{u_0+u_1+\cdots+ u_{n-1}}{u_n-u_0}
Notes et références

↑ Jean-Pierre Marco et Laurent Lazzarini, Mathématiques L1 : Cours complet avec 1 000 tests et exercices corrigés, Pearson,‎ 2012 (ISBN 9782744076077, lire en ligne [archive]), p. 121
↑ Les quinze livres des éléments géométriques d'Euclide, traduction de D. Henrion, 1632, pp.344-345 [archive] ; une démonstration en langage algébrique moderne reposant sur le même principe est donnée dans Série géométrique#Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

Voir aussi

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Série géométrique
Suite arithmético-géométrique
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skippy000102 Oct 2014 4:51 a.m. PST

That was funny once.

Winston Smith02 Oct 2014 8:20 a.m. PST

That is why the Stifle function was created.

Lion in the Stars02 Oct 2014 9:20 a.m. PST

I suspect that someone's account has been hacked.

SouthernPhantom02 Oct 2014 9:40 a.m. PST

No kidding…I don't read French. Scrolling through that takes a while on a mobile device…

Tony5802 Oct 2014 9:50 a.m. PST

Just decoded it grin & no it's not the West's master plan to defeat ISIS huh?

Nor is it the dice odds if you game this ongoing battle evil grin

geometric sequence
Examples
2; 16; 128; 1024 8192; …
Increasing geometric sequence, the first term of 2 to 8 due
2; one; 0.5; 0.25; 0.125; …
Decreasing geometric series, the first term of 2 to 0.5 due

In mathematics, a geometric progression is a sequence of numbers in which each term can be deduced by the following multiplication by a constant coefficient called reason. Thus, a geometric sequence has the following form:

a, \ aq \ aq ^ 2 \ aq ^ 3 \ aq ^ 4 \ \ ldots

The definition can be written in the form of a recurrence relation, that is to say that for every natural number n:

u_ {n +1} = q \ times u_n \, \ \ u_0 = a.

This relationship is characteristic of the geometric progression that is found for example in the evolution of a bank account compound interest or composition of musical intervals. It also allows for exponential growth model (in which the variation is proportional to the amount) by a discrete-time process.

Geometric sequences satisfy a general formula for the calculation of the terms and for the associated series. They can also be used to derive particular solutions for linear recurrence relations.
Early stages of building the triangle Serpinski.
Early stages of the construction of the Sierpinski triangle. The number of black triangles on their side, their individual area and the area of scope following geometric progressions respective reasons 3 1/2, 1/4 and 3/4.

summary

1 Scope of Application
2 general term
3 Direction of change and convergence
3.1 Direction of change
3.2 Convergence
4 Comparative Growth
5 Sum of terms
6 Notes and references
7 See also

Range of applications

The geometric series is the preferred tool for the study of phenomena growth or exponential decay, or the study of populations whose double size or halves in a constant time interval (period).

Example: 14 14 C atoms is a radioactive atom or with a half-life period is T = 5730 years (about 40 years). This means that in case of closure of a system (end of trade with the outside world), the amount of carbon-14 decreases by half every 5730 years.
If N is the amount of 14C in the system at the end of T years (T = 5730 years), there exists only N / 2 nuclei 14C. After 2T, there are more than N / 4 nuclei. After 3T, it is more than N / 8 cores. If the quantity called ñ_ñ 14C nuclei after n periods thereafter (ñ_ñ) is a geometric series with common ratio 1/2.

It's also found in the banking system with the calculation of compound interest.

Example: A C_0 capital invested 5% reported at the end of one year 0.05 \ times C_0 interest. Such interest added to the principal give us a new capital C_1 = 1.05 \ times C_0. By repeating the process every year, we create a geometric sequence 1.05 reason for C_ {n +1} = 1.05 \ times C_n.

She was finally found in musicology. Starting with some initial frequency, following the octave corresponds to a geometric progression of ratio 2 (going to treble), the sequence of pure fifths (those of the Pythagorean tuning) to a geometric progression of ratio 3 / 2, following the semitones of the tempered scale in a geometric progression with the twelfth root of 2 the tempered scale uses only twelve pure fifths (3/2) ≈ 12 129.746, which are worth "almost" 7 octaves, 27 = 128, that is to say that two sequences geometric same initial value, the 3/2 due to a reason other two, which may not precisely coincide at any point coincide to an approximation for these values.

It is the discrete equivalent of an exponential function.
general term

If K is a commutative field – for example ℝ (real body) or ℂ (complex field) – and if (u_n) _ {n \ in \ N} is a geometric sequence of K ratio q ∈ K then for any natural number n:

u_n u_0 = q ^ n

(including where q and n are zero, with the convention 00 = 1).

More generally, if the sequence is set to \ {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} and if p ≥ n ≥ n0, then:

u_n u_pq = ^ {n-p}.

A geometric sequence is entirely determined by the data of his first term u_ {} n_0 and its ratio q.

Conversely, a set of \ sequence {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} by

u_n = u_ {q} ^ {n_0 n-n_0}

is a geometric series with common ratio q.
Direction of change and convergence

We assume u_ {} n_0 and nonzero q.
Direction of change

This paragraph deals with geometric sequences with values ​​in ℝ.

if q <0 \, the following is not monotonous and oscillates alternately in positive and negative numbers. It is called alternately.
if q \ in] 0; 1 [
if u_ {n_0}> 0 result is positive decreasing
if u_ {n_0} <0 the sequence is increasing negative
if q \ in] 1; + \ Infty [
if u_ {n_0}> 0 the sequence is increasing positive
if u_ {n_0} <0 result is decreasing negative
if q = 1 \, the sequence is constant.

convergence

in ℝ

if q <-1 \,, the sequence diverges and has no limit. In ℝ, the adhesion values ​​are -∞ and + ∞.
if q = – 1 \,, result diverges and has two adhesion values​​: {} {n_0 n_0} u_ and -u_
if | q | <1 \,, the sequence converges to 0
if q = 1 \,, result is constant and converges to u_ {} n_0
if q> 1 \,, result is divergent but has a limit of
+ \ Infty for u_ {n_0}> 0
- \ Infty u_ {for} n_0 <0

in ℂ

if \ left | q \ right | <1, the sequence converges to 0.
if \ left | q \ right |> 1, the sequence is divergent.
if q = 1 \, the sequence is constant and converges u_ {} n_0.
if q \ neq 1 and \ left | q \ right | = 1, the sequence diverges.

comparative growth

We consider here suites with values ​​in ℝ.

We show that, for any integer n and any real positive t, (1 + r) ^ n \ geq 1 + nt. This inequality makes it possible to assert that a geometric series with common ratio 1 + t and the first term grows faster than an arithmetic sequence because of a × t. However, in practice, for small values ​​of t and reasonable values ​​of n, the two series are virtually overlapping. This approximation is justified mathematically by the limited order 1 when t tends to 0 development: (1 + r) ^ n = 1 + s + o (t) that provides the approximation: ~ (1 + r) ^ n \ approx 1 + nt.

Illustration with a = 1000 and t = 0.004, a reason a × t = 4:
n following arithmetic sequence geometric
0 1000 1000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008.016
3 1 012 1 012.048
4 1 016 1 016.096
5 1 020 1 020.161
6 1 024 1 024.241
7 1 028 1 028.338
8 1 032 1 032.452
9 1 036 1 036.581
10 1 040 1 040.728
11 1 044 1 044.891
12 1 048 1 049.070

This approximation allows financiers to use as monthly interest rate of the 12th annual rate t, instead of taking the exact value of \ sqrt [12] {1 + t} -1; it is even better that the rate is low.
Sum of the terms
Main article: geometric series.

The sum of n + 1 first terms of a geometric sequence (uk) k ∈ ℕ reason q ≠ 1 checks: \ sum_ {k = 0} ^ n = U_k u_0 + \ cdots + u_n u_0 = (1 + q + \ cdots + q ^ n) = u_0 \ frac {1-q ^ {n +1}} {q-1} \ \ (q \ neq 1) (see section geometric Series, General term section for demonstrations) .

When q = 1, the result is constant and u0 + … + a = (n + 1) u0.

The formula generalizes from a rank m any, the sequence (um + k) k ∈ ℕ is also geometric. More generally if the sequence (uk) follows a geometric progression between m and n, which is of length n – m + 1, we have the following formula when q is other reason 11:

\ sum_ {k = m} ^ ~ u_m nu_k = \ frac {1-q ^ {n-m + 1}} {1-q} = \ text {first term} \ times \ {1 dfrac \ text {reason } ^ {\ text {number of terms {1}}} \ text {reason}}.

The value of the sum of terms of a geometric progression is demonstrated in Book IX of Euclid's Elements, Theorem 33 XXXV proposal for larger than 1 integers (but with a general method) 2. The proposal states that, in a geometric progression, the differences between the first and second term on the one hand and the first and the last term on the other hand are respectively proportional to the first term and the sum of all of the foregoing terms the latter. Or algebraic language \ frac {} {u_0 U_1-u_0} = \ frac {+ u_0 U_1 + \ cdots + u_ {n-1}}} {u_n-u_0
References

↑ Jean-Pierre Laurent and Marco Lazzarini, Mathematics L1: Complete Course with 1000 tests and exercises corrected, Pearson, 2012 (ISBN 9782744076077, read online [archive]), p. 121
↑ The fifteen books of the geometry of Euclid, translated by D. Henrion, 1632 pp.344-345 [archive] a demonstration in modern algebraic language based on the same principle is given in geometric Series # Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

See also

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geometric series
Following arithmetic-geometric
arithmetic sequence

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Wikipedia® is a registered trademark geometric dSuite
Examples
2; 16; 128; 1024 8192; …
Increasing geometric sequence, the first term of 2 to 8 due
2; one; 0.5; 0.25; 0.125; …
Decreasing geometric series, the first term of 2 to 0.5 due

In mathematics, a geometric progression is a sequence of numbers in which each term can be deduced by the following multiplication by a constant coefficient called reason. Thus, a geometric sequence has the following form:

a, \ aq \ aq ^ 2 \ aq ^ 3 \ aq ^ 4 \ \ ldots

The definition can be written in the form of a recurrence relation, that is to say that for every natural number n:

u_ {n +1} = q \ times u_n \, \ \ u_0 = a.

This relationship is characteristic of the geometric progression that is found for example in the evolution of a bank account compound interest or composition of musical intervals. It also allows for exponential growth model (in which the variation is proportional to the amount) by a discrete-time process.

Geometric sequences satisfy a general formula for the calculation of the terms and for the associated series. They can also be used to derive particular solutions for linear recurrence relations.
Early stages of building the triangle Serpinski.
Early stages of the construction of the Sierpinski triangle. The number of black triangles on their side, their individual area and the area of scope following geometric progressions respective reasons 3 1/2, 1/4 and 3/4.

summary

1 Scope of Application
2 general term
3 Direction of change and convergence
3.1 Direction of change
3.2 Convergence
4 Comparative Growth
5 Sum of terms
6 Notes and references
7 See also

Range of applications

The geometric series is the preferred tool for the study of phenomena growth or exponential decay, or the study of populations whose double size or halves in a constant time interval (period).

Example: 14 14 C atoms is a radioactive atom or with a half-life period is T = 5730 years (about 40 years). This means that in case of closure of a system (end of trade with the outside world), the amount of carbon-14 decreases by half every 5730 years.
If N is the amount of 14C in the system at the end of T years (T = 5730 years), there exists only N / 2 nuclei 14C. After 2T, there are more than N / 4 nuclei. After 3T, it is more than N / 8 cores. If the quantity called ñ_ñ 14C nuclei after n periods thereafter (ñ_ñ) is a geometric series with common ratio 1/2.

It's also found in the banking system with the calculation of compound interest.

Example: A C_0 capital invested 5% reported at the end of one year 0.05 \ times C_0 interest. Such interest added to the principal give us a new capital C_1 = 1.05 \ times C_0. By repeating the process every year, we create a geometric sequence 1.05 reason for C_ {n +1} = 1.05 \ times C_n.

She was finally found in musicology. Starting with some initial frequency, following the octave corresponds to a geometric progression of ratio 2 (going to treble), the sequence of pure fifths (those of the Pythagorean tuning) to a geometric progression of ratio 3 / 2, following the semitones of the tempered scale in a geometric progression with the twelfth root of 2 the tempered scale uses only twelve pure fifths (3/2) ≈ 12 129.746, which are worth "almost" 7 octaves, 27 = 128, that is to say that two sequences geometric same initial value, the 3/2 due to a reason other two, which may not precisely coincide at any point coincide to an approximation for these values.

It is the discrete equivalent of an exponential function.
general term

If K is a commutative field – for example ℝ (real body) or ℂ (complex field) – and if (u_n) _ {n \ in \ N} is a geometric sequence of K ratio q ∈ K then for any natural number n:

u_n u_0 = q ^ n

(including where q and n are zero, with the convention 00 = 1).

More generally, if the sequence is set to \ {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} and if p ≥ n ≥ n0, then:

u_n u_pq = ^ {n-p}.

A geometric sequence is entirely determined by the data of his first term u_ {} n_0 and its ratio q.

Conversely, a set of \ sequence {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} by

u_n = u_ {q} ^ {n_0 n-n_0}

is a geometric series with common ratio q.
Direction of change and convergence

We assume u_ {} n_0 and nonzero q.
Direction of change

This paragraph deals with geometric sequences with values ​​in ℝ.

if q <0 \, the following is not monotonous and oscillates alternately in positive and negative numbers. It is called alternately.
if q \ in] 0; 1 [
if u_ {n_0}> 0 result is positive decreasing
if u_ {n_0} <0 the sequence is increasing negative
if q \ in] 1; + \ Infty [
if u_ {n_0}> 0 the sequence is increasing positive
if u_ {n_0} <0 result is decreasing negative
if q = 1 \, the sequence is constant.

convergence

in ℝ

if q <-1 \,, the sequence diverges and has no limit. In ℝ, the adhesion values ​​are -∞ and + ∞.
if q = – 1 \,, result diverges and has two adhesion values​​: {} {n_0 n_0} u_ and -u_
if | q | <1 \,, the sequence converges to 0
if q = 1 \,, result is constant and converges to u_ {} n_0
if q> 1 \,, result is divergent but has a limit of
+ \ Infty for u_ {n_0}> 0
- \ Infty u_ {for} n_0 <0

in ℂ

if \ left | q \ right | <1, the sequence converges to 0.
if \ left | q \ right |> 1, the sequence is divergent.
if q = 1 \, the sequence is constant and converges u_ {} n_0.
if q \ neq 1 and \ left | q \ right | = 1, the sequence diverges.

comparative growth

We consider here suites with values ​​in ℝ.

We show that, for any integer n and any real positive t, (1 + r) ^ n \ geq 1 + nt. This inequality makes it possible to assert that a geometric series with common ratio 1 + t and the first term grows faster than an arithmetic sequence because of a × t. However, in practice, for small values ​​of t and reasonable values ​​of n, the two series are virtually overlapping. This approximation is justified mathematically by the limited order 1 when t tends to 0 development: (1 + r) ^ n = 1 + s + o (t) that provides the approximation: ~ (1 + r) ^ n \ approx 1 + nt.

Illustration with a = 1000 and t = 0.004, a reason a × t = 4:
n following arithmetic sequence geometric
0 1000 1000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008.016
3 1 012 1 012.048
4 1 016 1 016.096
5 1 020 1 020.161
6 1 024 1 024.241
7 1 028 1 028.338
8 1 032 1 032.452
9 1 036 1 036.581
10 1 040 1 040.728
11 1 044 1 044.891
12 1 048 1 049.070

This approximation allows financiers to use as monthly interest rate of the 12th annual rate t, instead of taking the exact value of \ sqrt [12] {1 + t} -1; it is even better that the rate is low.
Sum of the terms
Main article: geometric series.

The sum of n + 1 first terms of a geometric sequence (uk) k ∈ ℕ reason q ≠ 1 checks: \ sum_ {k = 0} ^ n = U_k u_0 + \ cdots + u_n u_0 = (1 + q + \ cdots + q ^ n) = u_0 \ frac {1-q ^ {n +1}} {q-1} \ \ (q \ neq 1) (see section geometric Series, General term section for demonstrations) .

When q = 1, the result is constant and u0 + … + a = (n + 1) u0.

The formula generalizes from a rank m any, the sequence (um + k) k ∈ ℕ is also geometric. More generally if the sequence (uk) follows a geometric progression between m and n, which is of length n – m + 1, we have the following formula when q is other reason 11:

\ sum_ {k = m} ^ ~ u_m nu_k = \ frac {1-q ^ {n-m + 1}} {1-q} = \ text {first term} \ times \ {1 dfrac \ text {reason } ^ {\ text {number of terms {1}}} \ text {reason}}.

The value of the sum of terms of a geometric progression is demonstrated in Book IX of Euclid's Elements, Theorem 33 XXXV proposal for larger than 1 integers (but with a general method) 2. The proposal states that, in a geometric progression, the differences between the first and second term on the one hand and the first and the last term on the other hand are respectively proportional to the first term and the sum of all of the foregoing terms the latter. Or algebraic language \ frac {} {u_0 U_1-u_0} = \ frac {+ u_0 U_1 + \ cdots + u_ {n-1}}} {u_n-u_0
References

↑ Jean-Pierre Laurent and Marco Lazzarini, Mathematics L1: Complete Course with 1000 tests and exercises corrected, Pearson, 2012 (ISBN 9782744076077, read online [archive]), p. 121
↑ The fifteen books of the geometry of Euclid, translated by D. Henrion, 1632 pp.344-345 [archive] a demonstration in modern algebraic language based on the same principle is given in geometric Series # Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

See also

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Geometric convergence (or q-linear)
geometric series
Following arithmetic-geometric
arithmetic sequence

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Examples
2; 16; 128; 1024 8192; …
Increasing geometric sequence, the first term of 2 to 8 due
2; one; 0.5; 0.25; 0.125; …
Decreasing geometric series, the first term of 2 to 0.5 due

In mathematics, a geometric progression is a sequence of numbers in which each term can be deduced by the following multiplication by a constant coefficient called reason. Thus, a geometric sequence has the following form:

a, \ aq \ aq ^ 2 \ aq ^ 3 \ aq ^ 4 \ \ ldots

The definition can be written in the form of a recurrence relation, that is to say that for every natural number n:

u_ {n +1} = q \ times u_n \, \ \ u_0 = a.

This relationship is characteristic of the geometric progression that is found for example in the evolution of a bank account compound interest or composition of musical intervals. It also allows for exponential growth model (in which the variation is proportional to the amount) by a discrete-time process.

Geometric sequences satisfy a general formula for the calculation of the terms and for the associated series. They can also be used to derive particular solutions for linear recurrence relations.
Early stages of building the triangle Serpinski.
Early stages of the construction of the Sierpinski triangle. The number of black triangles on their side, their individual area and the area of scope following geometric progressions respective reasons 3 1/2, 1/4 and 3/4.

summary

1 Scope of Application
2 general term
3 Direction of change and convergence
3.1 Direction of change
3.2 Convergence
4 Comparative Growth
5 Sum of terms
6 Notes and references
7 See also

Range of applications

The geometric series is the preferred tool for the study of phenomena growth or exponential decay, or the study of populations whose double size or halves in a constant time interval (period).

Example: 14 14 C atoms is a radioactive atom or with a half-life period is T = 5730 years (about 40 years). This means that in case of closure of a system (end of trade with the outside world), the amount of carbon-14 decreases by half every 5730 years.
If N is the amount of 14C in the system at the end of T years (T = 5730 years), there exists only N / 2 nuclei 14C. After 2T, there are more than N / 4 nuclei. After 3T, it is more than N / 8 cores. If the quantity called ñ_ñ 14C nuclei after n periods thereafter (ñ_ñ) is a geometric series with common ratio 1/2.

It's also found in the banking system with the calculation of compound interest.

Example: A C_0 capital invested 5% reported at the end of one year 0.05 \ times C_0 interest. Such interest added to the principal give us a new capital C_1 = 1.05 \ times C_0. By repeating the process every year, we create a geometric sequence 1.05 reason for C_ {n +1} = 1.05 \ times C_n.

She was finally found in musicology. Starting with some initial frequency, following the octave corresponds to a geometric progression of ratio 2 (going to treble), the sequence of pure fifths (those of the Pythagorean tuning) to a geometric progression of ratio 3 / 2, following the semitones of the tempered scale in a geometric progression with the twelfth root of 2 the tempered scale uses only twelve pure fifths (3/2) ≈ 12 129.746, which are worth "almost" 7 octaves, 27 = 128, that is to say that two sequences geometric same initial value, the 3/2 due to a reason other two, which may not precisely coincide at any point coincide to an approximation for these values.

It is the discrete equivalent of an exponential function.
general term

If K is a commutative field – for example ℝ (real body) or ℂ (complex field) – and if (u_n) _ {n \ in \ N} is a geometric sequence of K ratio q ∈ K then for any natural number n:

u_n u_0 = q ^ n

(including where q and n are zero, with the convention 00 = 1).

More generally, if the sequence is set to \ {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} and if p ≥ n ≥ n0, then:

u_n u_pq = ^ {n-p}.

A geometric sequence is entirely determined by the data of his first term u_ {} n_0 and its ratio q.

Conversely, a set of \ sequence {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} by

u_n = u_ {q} ^ {n_0 n-n_0}

is a geometric series with common ratio q.
Direction of change and convergence

We assume u_ {} n_0 and nonzero q.
Direction of change

This paragraph deals with geometric sequences with values ​​in ℝ.

if q <0 \, the following is not monotonous and oscillates alternately in positive and negative numbers. It is called alternately.
if q \ in] 0; 1 [
if u_ {n_0}> 0 result is positive decreasing
if u_ {n_0} <0 the sequence is increasing negative
if q \ in] 1; + \ Infty [
if u_ {n_0}> 0 the sequence is increasing positive
if u_ {n_0} <0 result is decreasing negative
if q = 1 \, the sequence is constant.

convergence

in ℝ

if q <-1 \,, the sequence diverges and has no limit. In ℝ, the adhesion values ​​are -∞ and + ∞.
if q = – 1 \,, result diverges and has two adhesion values​​: {} {n_0 n_0} u_ and -u_
if | q | <1 \,, the sequence converges to 0
if q = 1 \,, result is constant and converges to u_ {} n_0
if q> 1 \,, result is divergent but has a limit of
+ \ Infty for u_ {n_0}> 0
- \ Infty u_ {for} n_0 <0

in ℂ

if \ left | q \ right | <1, the sequence converges to 0.
if \ left | q \ right |> 1, the sequence is divergent.
if q = 1 \, the sequence is constant and converges u_ {} n_0.
if q \ neq 1 and \ left | q \ right | = 1, the sequence diverges.

comparative growth

We consider here suites with values ​​in ℝ.

We show that, for any integer n and any real positive t, (1 + r) ^ n \ geq 1 + nt. This inequality makes it possible to assert that a geometric series with common ratio 1 + t and the first term grows faster than an arithmetic sequence because of a × t. However, in practice, for small values ​​of t and reasonable values ​​of n, the two series are virtually overlapping. This approximation is justified mathematically by the limited order 1 when t tends to 0 development: (1 + r) ^ n = 1 + s + o (t) that provides the approximation: ~ (1 + r) ^ n \ approx 1 + nt.

Illustration with a = 1000 and t = 0.004, a reason a × t = 4:
n following arithmetic sequence geometric
0 1000 1000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008.016
3 1 012 1 012.048
4 1 016 1 016.096
5 1 020 1 020.161
6 1 024 1 024.241
7 1 028 1 028.338
8 1 032 1 032.452
9 1 036 1 036.581
10 1 040 1 040.728
11 1 044 1 044.891
12 1 048 1 049.070

This approximation allows financiers to use as monthly interest rate of the 12th annual rate t, instead of taking the exact value of \ sqrt [12] {1 + t} -1; it is even better that the rate is low.
Sum of the terms
Main article: geometric series.

The sum of n + 1 first terms of a geometric sequence (uk) k ∈ ℕ reason q ≠ 1 checks: \ sum_ {k = 0} ^ n = U_k u_0 + \ cdots + u_n u_0 = (1 + q + \ cdots + q ^ n) = u_0 \ frac {1-q ^ {n +1}} {q-1} \ \ (q \ neq 1) (see section geometric Series, General term section for demonstrations) .

When q = 1, the result is constant and u0 + … + a = (n + 1) u0.

The formula generalizes from a rank m any, the sequence (um + k) k ∈ ℕ is also geometric. More generally if the sequence (uk) follows a geometric progression between m and n, which is of length n – m + 1, we have the following formula when q is other reason 11:

\ sum_ {k = m} ^ ~ u_m nu_k = \ frac {1-q ^ {n-m + 1}} {1-q} = \ text {first term} \ times \ {1 dfrac \ text {reason } ^ {\ text {number of terms {1}}} \ text {reason}}.

The value of the sum of terms of a geometric progression is demonstrated in Book IX of Euclid's Elements, Theorem 33 XXXV proposal for larger than 1 integers (but with a general method) 2. The proposal states that, in a geometric progression, the differences between the first and second term on the one hand and the first and the last term on the other hand are respectively proportional to the first term and the sum of all of the foregoing terms the latter. Or algebraic language \ frac {} {u_0 U_1-u_0} = \ frac {+ u_0 U_1 + \ cdots + u_ {n-1}}} {u_n-u_0
References

↑ Jean-Pierre Laurent and Marco Lazzarini, Mathematics L1: Complete Course with 1000 tests and exercises corrected, Pearson, 2012 (ISBN 9782744076077, read online [archive]), p. 121
↑ The fifteen books of the geometry of Euclid, translated by D. Henrion, 1632 pp.344-345 [archive] a demonstration in modern algebraic language based on the same principle is given in geometric Series # Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

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Examples
2; 16; 128; 1024 8192; …
Increasing geometric sequence, the first term of 2 to 8 due
2; one; 0.5; 0.25; 0.125; …
Decreasing geometric series, the first term of 2 to 0.5 due

In mathematics, a geometric progression is a sequence of numbers in which each term can be deduced by the following multiplication by a constant coefficient called reason. Thus, a geometric sequence has the following form:

a, \ aq \ aq ^ 2 \ aq ^ 3 \ aq ^ 4 \ \ ldots

The definition can be written in the form of a recurrence relation, that is to say that for every natural number n:

u_ {n +1} = q \ times u_n \, \ \ u_0 = a.

This relationship is characteristic of the geometric progression that is found for example in the evolution of a bank account compound interest or composition of musical intervals. It also allows for exponential growth model (in which the variation is proportional to the amount) by a discrete-time process.

Geometric sequences satisfy a general formula for the calculation of the terms and for the associated series. They can also be used to derive particular solutions for linear recurrence relations.
Early stages of building the triangle Serpinski.
Early stages of the construction of the Sierpinski triangle. The number of black triangles on their side, their individual area and the area of scope following geometric progressions respective reasons 3 1/2, 1/4 and 3/4.

summary

1 Scope of Application
2 general term
3 Direction of change and convergence
3.1 Direction of change
3.2 Convergence
4 Comparative Growth
5 Sum of terms
6 Notes and references
7 See also

Range of applications

The geometric series is the preferred tool for the study of phenomena growth or exponential decay, or the study of populations whose double size or halves in a constant time interval (period).

Example: 14 14 C atoms is a radioactive atom or with a half-life period is T = 5730 years (about 40 years). This means that in case of closure of a system (end of trade with the outside world), the amount of carbon-14 decreases by half every 5730 years.
If N is the amount of 14C in the system at the end of T years (T = 5730 years), there exists only N / 2 nuclei 14C. After 2T, there are more than N / 4 nuclei. After 3T, it is more than N / 8 cores. If the quantity called ñ_ñ 14C nuclei after n periods thereafter (ñ_ñ) is a geometric series with common ratio 1/2.

It's also found in the banking system with the calculation of compound interest.

Example: A C_0 capital invested 5% reported at the end of one year 0.05 \ times C_0 interest. Such interest added to the principal give us a new capital C_1 = 1.05 \ times C_0. By repeating the process every year, we create a geometric sequence 1.05 reason for C_ {n +1} = 1.05 \ times C_n.

She was finally found in musicology. Starting with some initial frequency, following the octave corresponds to a geometric progression of ratio 2 (going to treble), the sequence of pure fifths (those of the Pythagorean tuning) to a geometric progression of ratio 3 / 2, following the semitones of the tempered scale in a geometric progression with the twelfth root of 2 the tempered scale uses only twelve pure fifths (3/2) ≈ 12 129.746, which are worth "almost" 7 octaves, 27 = 128, that is to say that two sequences geometric same initial value, the 3/2 due to a reason other two, which may not precisely coincide at any point coincide to an approximation for these values.

It is the discrete equivalent of an exponential function.
general term

If K is a commutative field – for example ℝ (real body) or ℂ (complex field) – and if (u_n) _ {n \ in \ N} is a geometric sequence of K ratio q ∈ K then for any natural number n:

u_n u_0 = q ^ n

(including where q and n are zero, with the convention 00 = 1).

More generally, if the sequence is set to \ {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} and if p ≥ n ≥ n0, then:

u_n u_pq = ^ {n-p}.

A geometric sequence is entirely determined by the data of his first term u_ {} n_0 and its ratio q.

Conversely, a set of \ sequence {n \ in \ N, n \ ge n_0 \} by

u_n = u_ {q} ^ {n_0 n-n_0}

is a geometric series with common ratio q.
Direction of change and convergence

We assume u_ {} n_0 and nonzero q.
Direction of change

This paragraph deals with geometric sequences with values ​​in ℝ.

if q <0 \, the following is not monotonous and oscillates alternately in positive and negative numbers. It is called alternately.
if q \ in] 0; 1 [
if u_ {n_0}> 0 result is positive decreasing
if u_ {n_0} <0 the sequence is increasing negative
if q \ in] 1; + \ Infty [
if u_ {n_0}> 0 the sequence is increasing positive
if u_ {n_0} <0 result is decreasing negative
if q = 1 \, the sequence is constant.

convergence

in ℝ

if q <-1 \,, the sequence diverges and has no limit. In ℝ, the adhesion values ​​are -∞ and + ∞.
if q = – 1 \,, result diverges and has two adhesion values​​: {} {n_0 n_0} u_ and -u_
if | q | <1 \,, the sequence converges to 0
if q = 1 \,, result is constant and converges to u_ {} n_0
if q> 1 \,, result is divergent but has a limit of
+ \ Infty for u_ {n_0}> 0
- \ Infty u_ {for} n_0 <0

in ℂ

if \ left | q \ right | <1, the sequence converges to 0.
if \ left | q \ right |> 1, the sequence is divergent.
if q = 1 \, the sequence is constant and converges u_ {} n_0.
if q \ neq 1 and \ left | q \ right | = 1, the sequence diverges.

comparative growth

We consider here suites with values ​​in ℝ.

We show that, for any integer n and any real positive t, (1 + r) ^ n \ geq 1 + nt. This inequality makes it possible to assert that a geometric series with common ratio 1 + t and the first term grows faster than an arithmetic sequence because of a × t. However, in practice, for small values ​​of t and reasonable values ​​of n, the two series are virtually overlapping. This approximation is justified mathematically by the limited order 1 when t tends to 0 development: (1 + r) ^ n = 1 + s + o (t) that provides the approximation: ~ (1 + r) ^ n \ approx 1 + nt.

Illustration with a = 1000 and t = 0.004, a reason a × t = 4:
n following arithmetic sequence geometric
0 1000 1000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008.016
3 1 012 1 012.048
4 1 016 1 016.096
5 1 020 1 020.161
6 1 024 1 024.241
7 1 028 1 028.338
8 1 032 1 032.452
9 1 036 1 036.581
10 1 040 1 040.728
11 1 044 1 044.891
12 1 048 1 049.070

This approximation allows financiers to use as monthly interest rate of the 12th annual rate t, instead of taking the exact value of \ sqrt [12] {1 + t} -1; it is even better that the rate is low.
Sum of the terms
Main article: geometric series.

La somme des n + 1 premiers termes d'une suite géométrique (uk)k ∈ ℕ de raison q ≠ 1 vérifie : \sum_{k=0}^n u_k = u_0 + \cdots + u_n = u_0(1+ q + \cdots +q^n) = u_0\frac{1-q^{n+1}}{1-q}\ \ (q\neq 1) (voir l'article Série géométrique, section Terme général pour des démonstrations).

Quand q = 1, la suite est constante et u0 + … + un = (n+1)u0.

La formule se généralise à partir d'un rang m quelconque, la suite (um+k)k ∈ ℕ étant également géométrique. Plus généralement si la suite (uk) suit une progression géométrique entre m et n, qui est donc de longueur n – m + 1, on a la formule suivante quand la raison q est différente de 11 :

\sum_{k=m}^nu_k=u_m~\frac{1-q^{n-m+1}}{1-q}= \text{premier terme}\times \dfrac{1-\text{raison}^{\text{nombre de termes}}}{1-\text{raison}}.

La valeur de la somme des termes d'une progression géométrique est démontrée dans le Livre IX des Éléments d'Euclide, théorème 33 proposition XXXV, pour des nombres entiers plus grands que 1 (mais par une méthode générale)2. La proposition énonce que, dans une progression géométrique, les différences entre le premier et le second terme d'une part et le premier et le dernier terme d'autre part sont proportionnelles respectivement au premier terme et à la somme de tous les termes qui précèdent le dernier. Soit en langage algébrique \frac{u_0}{u_1-u_0}=\frac{u_0+u_1+\cdots+ u_{n-1}}{u_n-u_0}
References

↑ Jean-Pierre Marco et Laurent Lazzarini, Mathématiques L1 : Cours complet avec 1 000 tests et exercices corrigés, Pearson,‎ 2012 (ISBN 9782744076077, lire en ligne [archive]), p. 121
↑ Les quinze livres des éléments géométriques d'Euclide, traduction de D. Henrion, 1632, pp.344-345 [archive] ; une démonstration en langage algébrique moderne reposant sur le même principe est donnée dans Série géométrique#Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

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Série géométrique
Following arithmetic-geometric
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Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Suite géométrique
Examples
2; 16; 128; 1024 8192; …
Increasing geometric sequence, the first term of 2 to 8 due
2; one; 0.5; 0.25; 0.125; …
Decreasing geometric series, the first term of 2 to 0.5 due

In mathematics, a geometric progression is a sequence of numbers in which each term can be deduced by the following multiplication by a constant coefficient called reason. Thus, a geometric sequence has the following form:

a, \ aq \ aq ^ 2 \ aq ^ 3 \ aq ^ 4 \ \ ldots

The definition can be written in the form of a recurrence relation, that is to say that for every natural number n:

u_ {n +1} = q \ times u_n \, \ \ u_0 = a.

This relationship is characteristic of the geometric progression that is found for example in the evolution of a bank account compound interest or composition of musical intervals. It also allows for exponential growth model (in which the variation is proportional to the amount) by a discrete-time process.

Les suites géométriques satisfont une formule générale pour le calcul des termes ainsi que pour la série associée. Elles peuvent aussi servir à calculer des solutions particulières pour les relations de récurrence linéaires.
Premières étapes de la construction du triangle de Serpinski.
Premières étapes de la construction du triangle de Sierpiński. Le nombre de triangles noirs, leur côté, leur aire individuelle et l'aire du domaine couvert suivent des progressions géométriques de raisons respectives 3, 1/2, 1/4 et 3/4.

summary

1 Champ d'applications
2 Terme général
3 Sens de variation et convergence
3.1 Sens de variation
3.2 Convergence
4 Croissance comparée
5 Somme des termes
6 Notes and references
7 Voir aussi

Champ d'applications

La suite géométrique est l'outil privilégié pour l'étude de phénomènes à croissance ou décroissance exponentielle, ou encore l'étude de populations dont la taille double ou diminue de moitié dans un intervalle de temps constant (période).

Exemple : Le carbone 14 14C est un atome radioactif dont la période ou demi-vie est de T = 5730 ans (à 40 ans près). Cela signifie que, en cas de fermeture d'un système (fin des échanges avec le monde extérieur), la quantité de carbone 14 diminue de moitié tous les 5730 ans.
Si N est la quantité de 14C dans le système, au bout de T années (T = 5730 ans), il n'existe plus que N/2 noyaux de 14C . Au bout de 2T, il n'y a plus que N/4 noyaux. Au bout de 3T, il ne reste plus que N/8 noyaux. Si on appelle N_n la quantité de noyaux 14C au bout de n périodes, la suite (N_n ) est une suite géométrique de raison 1/2.

On la retrouve aussi dans le système bancaire avec le calcul des intérêts composés.

Exemple : Un capital C_0 placé à 5 % rapporte au bout d'un an 0,05 \times C_0 d'intérêts. Ces intérêts ajoutés au capital nous donnent un nouveau capital C_1 = 1,05\times C_0. En recommençant le processus chaque année, on crée une suite géométrique de raison 1,05 car C_{n+1} = 1,05 \times C_n.

On la retrouve enfin, en musicologie. En partant d'une certaine fréquence initiale, la suite des octaves correspond à une progression géométrique de raison 2 (en allant vers l'aigu), la suite des quintes pures (celles de l'accord pythagoricien) à une progression géométrique de raison 3/2, la suite des demi-tons de la gamme tempérée à une progression géométrique de raison la racine douzième de 2. La gamme tempérée n'utilise que douze quintes pures, (3/2)12 ≈ 129,746, qui valent « presque » 7 octaves, 27 = 128, c'est-à-dire que deux suites géométriques de même valeur initiale, l'une de raison 3/2 l'autre de raison 2, qui ne peuvent coïncider de façon précise en aucun point, coïncident de façon approchée pour ces valeurs.

Elle est l'équivalent discret d'une fonction exponentielle.
Terme général

Si K est un corps commutatif – par exemple ℝ (corps des réels) ou ℂ (corps des complexes) – et si (u_n )_{n\in\N} est une suite géométrique de K de raison q ∈ K alors, pour tout entier naturel n :

u_n = u_0 q^n

(y compris si q et n sont nuls, avec la convention 00 = 1).

Plus généralement, si la suite est définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} et si n ≥ p ≥ n0, alors :

u_n=u_pq^{n-p}.

Une suite géométrique est donc entièrement déterminée par la donnée de son premier terme u_{n_0} et par sa raison q.

Réciproquement, une suite définie sur \{n\in\N,n\ge n_0\} par

u_n=u_{n_0}q^{n-n_0}

est une suite géométrique de raison q.
Sens de variation et convergence

On supposera u_{n_0} et q non nuls.
Sens de variation

Ce paragraphe concerne les suites géométriques à valeurs dans ℝ.

si q < 0\, la suite n'est pas monotone et oscille alternativement dans les nombres négatifs et positifs. Elle est dite alternée.
si q \in ]0 ; 1[
si u_{n_0}> 0 la suite est décroissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est croissante négative
si q \in ]1 ; + \infty[
si u_{n_0}> 0 la suite est croissante positive
si u_{n_0}< 0 la suite est décroissante négative
si q = 1\, la suite est constante.

convergence

Dans ℝ

si q < -1\,, la suite diverge et ne possède pas de limite. Dans ℝ, les valeurs d'adhérence sont +∞ et –∞.
si q = – 1\,, la suite diverge et possède deux valeurs d'adhérence : u_{n_0} et -u_{n_0}
si |q| < 1\,, la suite converge vers 0
si q = 1\,, la suite est constante et converge vers u_{n_0}
si q > 1\,, la suite est divergente mais possède une limite égale à
+ \infty pour u_{n_0}>0
– \infty pour u_{n_0}<0

Dans ℂ

si \left| q\right| <1, la suite converge vers 0.
si \left| q\right| >1, la suite est divergente.
si q = 1\ , la suite est constante et converge vers u_{n_0}.
si q \neq 1 et \left| q\right| = 1, la suite diverge.

Croissance comparée

On considère ici des suites à valeurs dans ℝ.

On démontre que, pour tout entier n et tout réel t positif, (1 + t )^n \geq 1 + nt. Cette inégalité permet d'affirmer qu'une suite géométrique de raison 1 + t et de premier terme a croît plus vite qu'une suite arithmétique de raison a×t. Cependant, en pratique, pour de petites valeurs de t et des valeurs raisonnables de n, les deux suites sont quasiment confondues. Cette approximation se justifie mathématiquement par le développement limité à l'ordre 1 lorsque t tend vers 0 : (1+t)^n=1 + nt + o(t) qui fournit l'approximation : ~(1+t)^n \approx 1+nt.

Illustration avec a = 1 000 et t = 0,004, soit une raison a×t = 4 :
n suite arithmétique suite géométrique
0 1 000 1 000
1 1 004 1 004
2 1 008 1 008,016
3 1 012 1 012,048
4 1 016 1 016,096
5 1 020 1 020,161
6 1 024 1 024,241
7 1 028 1 028,338
8 1 032 1 032,452
9 1 036 1 036,581
10 1 040 1 040,728
11 1 044 1 044,891
12 1 048 1 049,070

Cette approximation permet aux financiers d'utiliser comme taux d'intérêt mensuel le 12e du taux annuel t, au lieu de prendre la valeur exacte \sqrt[12]{1+t}-1 ; elle est d'autant meilleure que le taux est faible.
Somme des termes
Article détaillé : Série géométrique.

La somme des n + 1 premiers termes d'une suite géométrique (uk)k ∈ ℕ de raison q ≠ 1 vérifie : \sum_{k=0}^n u_k = u_0 + \cdots + u_n = u_0(1+ q + \cdots +q^n) = u_0\frac{1-q^{n+1}}{1-q}\ \ (q\neq 1) (voir l'article Série géométrique, section Terme général pour des démonstrations).

Quand q = 1, la suite est constante et u0 + … + un = (n+1)u0.

La formule se généralise à partir d'un rang m quelconque, la suite (um+k)k ∈ ℕ étant également géométrique. Plus généralement si la suite (uk) suit une progression géométrique entre m et n, qui est donc de longueur n – m + 1, on a la formule suivante quand la raison q est différente de 11 :

\sum_{k=m}^nu_k=u_m~\frac{1-q^{n-m+1}}{1-q}= \text{premier terme}\times \dfrac{1-\text{raison}^{\text{nombre de termes}}}{1-\text{raison}}.

La valeur de la somme des termes d'une progression géométrique est démontrée dans le Livre IX des Éléments d'Euclide, théorème 33 proposition XXXV, pour des nombres entiers plus grands que 1 (mais par une méthode générale)2. La proposition énonce que, dans une progression géométrique, les différences entre le premier et le second terme d'une part et le premier et le dernier terme d'autre part sont proportionnelles respectivement au premier terme et à la somme de tous les termes qui précèdent le dernier. Soit en langage algébrique \frac{u_0}{u_1-u_0}=\frac{u_0+u_1+\cdots+ u_{n-1}}{u_n-u_0}
References

↑ Jean-Pierre Marco et Laurent Lazzarini, Mathématiques L1 : Cours complet avec 1 000 tests et exercices corrigés, Pearson,‎ 2012 (ISBN 9782744076077, lire en ligne [archive]), p. 121
↑ Les quinze livres des éléments géométriques d'Euclide, traduction de D. Henrion, 1632, pp.344-345 [archive] ; une démonstration en langage algébrique moderne reposant sur le même principe est donnée dans Série géométrique#Preuve_utilisant_des_règles_de_proportionnalité

See also

On other Wikimedia projects:

Suite géométrique, sur Wikiversity

Convergence géométrique (ou q-linéaire)
Série géométrique
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Tango0102 Oct 2014 10:35 a.m. PST

Que l'idiotie! (smile)

Amicalement
Armand

Personal logo Legion 4 Supporting Member of TMP In the TMP Dawghouse02 Oct 2014 3:08 p.m. PST

Ah … what is Reylance doing ?

zippyfusenet02 Oct 2014 3:15 p.m. PST

It's a form of denial-of-service attack. He cuts-and-pastes an enormous chunk of garbage text into a thread, to swamp the thread with his garbage text. He reduces the signal-to-noise ratio to near 0.

Why does he do it? To spoil everyone else's fun. Because he can.

What an ass.

Lion in the Stars02 Oct 2014 10:52 p.m. PST

Ah … what is Reylance doing ?
Getting stifled.
=====

Now, as far as a buffer zone between Israel and Syria? yeah, there's kinda been one since 1973. It hasn't worked so well, and I frankly welcome the Daeshbags to try crossing it.

Personal logo Legion 4 Supporting Member of TMP In the TMP Dawghouse03 Oct 2014 9:10 a.m. PST

Glad to see Raylance is being deleted on some threads. Why not here ? He may have been a Daesh sleeper ?! I PM'd the Ed. … And even Daech might think twice about crossing horns with the IDF …

Sorry - only verified members can post on the forums.